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  • : Le blog du groupe "Ensemble, Aulnoy au coeur", regroupant les élus communistes et républicains
  • : Les élections municipales de Mars 2008 ont envoyé trois conseillers municipaux communistes et républicains au Conseil Municipal d'Aulnoy-lez-Valenciennes. Ce blog a pour but de permettre aux jeunes et aux salariés aulnésiens de rester en contact avec eux.
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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 23:44

REBAPTISER LA SALLE PAROISSIALE oui mais !

 

Jules Chevalier

 

Lors des vœux du vendredi 13 janvier, le maire a annoncé son désir de donner le nom de Patrick Roy, décédé l’an dernier, à la salle paroissiale prochainement rénovée. On peut comprendre ce désir correspondant à une amitié personnelle. Un autre député, Gustave Ansart avait d’ailleurs été mis à l’honneur avec une résidence à son nom.


Emile Vaillant, ancien maire a reçu l’hommage mérité d’une salle de sports. Nous demandons que notre maire actuel distingue son prédécesseur, Jules Chevalier, un maire apprécié bien au-delà de sa commune d’Aulnoy, ce qu’il n’a pas fait depuis son élection. Vous l’aurez remarqué comme nous, aucun édifice public, nouvelle rue … ne porte son nom. Seul le SITURV a honoré le père fondateur du tramway moderne avec une station à son nom.

Nous faisons donc solennellement la proposition de donner le nom de « Jules Chevalier », décédé le 2 juillet 2005, à un édifice ou rue du futur Eco-Quartier, certains qu’une majorité d’Aulnésiens en dehors de toute approche partisane soutiendraient cette  idée. 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 12:07

Un hommage aux anciens maires est organisé

ce samedi 29 octobre à 10 h 

au cimetière d'Aulnoy

par la Municipalité d'Aulnoy lez Valenciennes

 

Jules Chevalier

 

Les élus communistes et citoyens d'Aulnoy s'associeront à cet hommage.

 

Des militants du PCF et du MJCF seront présents et déposeront une gerbe pour rendre hommage à leurs anciens maires communistes.

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19 septembre 2010 7 19 /09 /septembre /2010 15:04

Jules Chevalier -copie-1

 

 

                                                                      

Aulnoy, le 18/09/2010 à 11 h au cimetière.

 

La cellule Gustave Ansart a rendu un hommage à Monsieur Jules Chevalier disparu le 2 juillet 2005 en présence de Mme Lucie Chevalier, son épouse, de M. Michel Kaczmarek, Maire de Rouvignies, de M. Jocelyn Fontaine, conseiller municipal de Raismes, de représentants d’associations aulnésiennes et d’Aulnésiens.

Une gerbe a été déposée sur sa tombe.

 

Extrait de l’intervention de Philippe Perek, secrétaire de cellule :

« Parmi les nombreuses facettes de la personnalité de notre ami Jules Chevalier j’aimerais en rappeler 3 que je connais plus particulièrement :

           

L’enseignant et militant syndical au SNI (Syndicat National des Instituteurs) où je lui ai succédé comme Conseiller Syndical… j’ai souvenir en particulier de manifestations à Paris avec Mr et Mme Chevalier, René Cher, le regretté Yves Leleu, etc…

 

La fidélité politique à son parti, le PCF …

 

Son action comme Maire. En 1971, il a succédé à Emile Vaillant. N’en déplaise à certains, c’est à Jules Chevalier qu’on doit la plupart des réalisations passées et actuelles qui ont fait l’Aulnoy moderne que nous connaissons et aimons.

Il a terminé l’aménagement de la ZAC initiée par son prédécesseur Emile Vaillant, puis vinrent le collège Mme d’Epinay ouvert en 1977-78 et, parmi tant d’autres, la Médiathèque François Rabelais, le Complexe Sportif, … la salle culturelle « Nymphéas » à laquelle a beaucoup travaillé Renée Maillard et qui était entièrement financée, les plans étaient prêts et son successeur a juste eu à la réaliser.

Le jardin des peintres ainsi que l’aménagement du cimetière, l’espace « greffe », le lotissement de « la Bergère », tout cela était soit en cours de réalisation, au stade de plans ou de projets.

Rien que des projets ambitieux dont son successeur reconnaît implicitement la valeur puis qu’il les a appliqués à la lettre en s’en attribuant malheureusement parfois la paternité.

Enfin bien sûr le tramway, son « enfant » qui, seul, lui a rendu hommage en donnant son nom à une station.

 

Un hommage donc, parfaitement justifié en ce 5ème anniversaire »

 

Madame Chevalier a ensuite pris la parole pour remercier les participant et regretter que rien dans la ville ne rappelle le passage et l’œuvre de Jules Chevalier pendant 34 ans au service des Aulnésiens qu’il aimait tant.

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 20:48
Hommage à Jean ferrat

 

Hors-série spécial en hommage à Jean Ferrat

 

Avec les contributions de Michel Drucker, Jean-François Kahn, Bernard Pivot, Jean Ristat, Edmonde Charles-Roux...

 

Les grands entretiens de Jean Ferrat dans l'Humanité, l'Humanité Dimanche et les Lettres françaises.

 

Les réactions de Georges Moustaki, Isabelle Aubret, Francesca Solleville, Allain Leprest...

Et également, des photos exceptionnelles, ses textes et de nombreuses interviews...

En bonus, un DVD de l'émission télévisée Discorama, de Denise Glaser.


Au prix de 10 euros.

Commande auprès de Xavier Dubois (xavdub2@hotmail.com, 06 30 04 16 02)

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 21:32
Jean Ferrat, ressuscité, devient l'icône de ceux qu'il a dénoncé sa vie durant

 

 

Même Sarkozy y va de son éloge, alors que Jean Ferrat a mille fois étrillé les types de son acabit, de ses idées, de son arrivisme, de son milieu.


« Qu’il chante, mais qu’il ne parle pas  », disaient aux animateurs d’émissions de variété ceux qui tenaient les ficelles de l’ORTF. Qu’il chante ? "Oui, mais s’il-vous plaît, Jean," pas « Potemkine », chanson interdite sur les ondes, "pas « Ma France »", qui fait polémique.


L’engagement sans faille de cet homme aux côtés des travailleurs fit que l’intelligentsia le déclassa comme un sous-Brassens, sous-Brel, sous-Férré. Un sous-intellectuel, lui qui mit en musique tant de poèmes d’Aragon dont il était l’ami.


Aujourd’hui, aujourd’hui qu’il est mort, aujourd’hui qu’il ne peut plus ni chanter ni parler, ceux qui voulurent le museler, le cacher au fond de la classe, le priver de laurier, nous jurent qu’il fut un grand parmi les grands.


Pour un peu, ils rétrograderaient Brassens, autre censuré, mais pour des délits mineurs (gros mots, moquerie des pandores). Ferrat a chanté Cuba, il se mouillait contre la guerre d’Indochine et contre l’extermination des juifs.  Et pour cela, il a tant été critiqué.


Ces critiques du vivant de l’artiste, voyez comme elles vont être portées à son crédit aujourd’hui, avec un demi-siècle de retard sur le jugement du peuple qui lui rendit justice par ses acclamations quand les mous du bide tordaient le nez : « Populiste, démago, compagnon de route du PCF… ».


Les hypocrites qui pleurent sur son cercueil, les décerveleurs, sont prêts à ressusciter le Ferrat des années 60 pour que se taise le Ferrat des années 2000. Ce sage-là disait que, les médias étant ce qu’ils sont, il ne pourrait plus aujourd’hui, lui, Ferrat, ce géant que la mafia médiatico-politique pleure, enregistrer de disque.


Mais ils pleurent, ils pleurent ce dur à cuire qui a survécu au cyanure de leurs flèches pour mourir à l’heure de ses cheveux blancs. 


Bon pour l’audimat, ça, coco. J’exagère ? Oui, mais à peine, diront (avec une mauvaise foi dictée par la tristesse) ceux qui fréquentent les salles d’attente de coiffeurs ou de médecins.

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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 13:52

 

Ciné Agora : un film, un débat, un pot… et vous !

 

Vendredi 13 novembre à 19 heures

 

Thème de la soirée :

« … Etrangers, et nos frères pourtant… »

 

 

L’armée du Crime

Un film français de Robert Guédiguian – France – 2009 – 2h19

 

L’histoire : Dans Paris occupé par les allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian

prend la tête d'un groupe de très jeunes juifs, Hongrois, Polonais, Roumains, Espagnols,

Italiens, Arméniens, déterminés à combattre pour libérer la France qu'ils aiment, celle des Droits de l'Homme.

 

Pour clôturer de façon conviviale ce Ciné-Agora, nous nous retrouverons autour du pot de l’amitié.

 


 

Ne manquez pas l'Armée du crime, le film-épopée de Robert Guédiguian,

rappelant opportunément comment un jeune groupe d'étrangers

("et nos frères pourtant..." comme l'écrivit Aragon) résistèrent au prix de leur vie

à la collaboration avec les nazis il y a soixante-cinq ans.

 


Gratuit pour nos abonnés/Non abonnés : 3.20 €

 

Renseignements/RESERVATIONS : 03.27.22.22.30 ou par mail douchy.culture@gmail.com

 

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 21:24
LA TELEVISION QUI PARLE DE VOUS!

Cliquez ici pour voir la chaîne.
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 14:38
Pourquoi ont-ils tué Jaurés?



5 novembre 2009, 18h45
Maison de quartier E. Lelièvre, rue des Ursulines, Valenciennes

Par Pierre Outteryck, agrégé d'Histoire

Organisé par le groupe "Valenciennes citoyenne"


On trouve souvent des rues Jean Jaurès. Pas à Valenciennes, et c’est dommage. Les élus de Valenciennes Citoyenne la réclament.

 

Jean Jaurès est né il y a cent cinquante ans. On sait qu’il combattit la guerre, le colonialisme. Mais sa pensée et son œuvre demeurent mal connus.

Le président de la République a sa représentation de Jaurès qu’il n’hésite pas à citer, comme il cite Guy Môquet et quelques autres.

 

Jaurès fut un penseur et un militant, qui paya de sa vie son combat. Il fut un élu, notamment un élu municipal, un tribun, un théoricien de la transformation de la société, un novateur, défenseur de la démocratie, de la laïcité, de la république, des opprimés et de la paix. Il fut aussi le fondateur du journal  « L’Humanité » qui reste fidèle à ses convictions.

 

Apprendre de Jaurès, c’est retourner dans la période du début du vingtième siècle, qu’on appela « La Belle époque » et qui déboucha sur l’épouvantable guerre de quatorze/dix huit.

Mais, avant la crise financière actuelle, les médias ne nous expliquaient-ils pas que nous vivions dans « le meilleur des mondes possibles » ?

 

  « Pourquoi ont-ils tué Jaurès » demandait Jacques Brel ?

 

Jaurès a écrit à propos de la démocratie : «Je sais bien que la République ne contient pas en substance la justice sociale et que la démocratie, si elle n’était pas sans cesse avertie par la lutte de classe, resterait stagnante».

Jaurès a écrit à propos des conflits sociaux : «Ah, le patronat n’a pas besoin, pour exercer une action violente de gestes désordonnés : quelques messieurs se réunissent tranquillement autour d’un tapis vert et décident de baisser les salaires. Pour les ouvriers, la violence est chose visible, palpable, saisissable».

A propos des colonies, Jaurès a écrit : «Des flibustiers, des journalistes de proie, des banquiers d’audace, rêvent d’une expédition fructueuse au Maroc» et encore «Il y a,  dans notre Afrique du Nord, un frémissement auquel nul ne prête attention ».

Penseur attaché à la pensée dialectique, Jaurès a écrit : «Un peu d’internationalisme éloigne de la patrie, beaucoup en rapproche».

Dans son combat pour la paix, Jaurès a écrit : «Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage». 

 

Ils avaient toutes les raisons de tuer Jaurès.

 

Venez  découvrir ou redécouvrir un penseur d’une actualité brûlante.

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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 22:10

M. Norbert Jessus,
votre conseiller général

a le plaisir de vous convier, autour du verre de l'amitié,

à la séance de dédicace du livre "Un Marx et ça repart"

en présence de

Alain BOCQUET, député du Nord (PCF)

le jeudi 15 octobre 2009 à 18h30
Salle des Fêtes de Trith Saint Léger, rue Henri Durre
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